La vie entre en interférence Comme la houle d'une mer furieuse. Et dans le coin de l'œil, Des lignes de gouttelettes, Fines, rides, Sans limites Lisent la mort écrite Sur mes syllabes en défaite.
Parfois plus vite Les ombres capturent Le temps avec gestion Et jouent ensuite complètement La projection rétinienne De la lumière Et lentement encore C’est moi qui chute Dans l'écran infini Du dégrisement !