J'ai effacé l'ordre De ce vent déchaîné. Tenez-vous bien Mon attention, ma sécurité, Ma nuit ! La plupart de mes notes Le font, les distances, Dans la pureté, Troublent l'attention Simplement pour prolonger L’été clandestin, Pour communiquer En des coups de pied Nos divers sujets. Mais le vent distant A laissé flirter Sur la même page Que voici Nos profonds sommeils ! Votre mérite est plus grand Que cette journée Tenue seule... Sur la couverture Pseudonyme de ce monde. Peu importe, je suis parti Tout convaincu Que pour récolter le jour, Plutôt le reste de ce jour Qui nous reste, Il faut laisser le filage Bien tissé Quoique de plus, Garder l'Arche À notre disposition Même en pensée. Où me conduisit donc Votre soirée Retourné vers ce devenir Heureux jamais vécu ? Le matin en mains ? Non, même si, Voulez-vous sourire ? Il y aurait d'autre zone Pour chérir notre rêve Au feu de notre Page blanche, Peut être sous un autre ciel, Où la nuit parle notre passion.