Bateau d’ailleurs, plein de fennecs et de gazelles Ambres presque vivantes, et absinthes si pures Des rêves cachés, dans les caveaux du Ghazel J’infeste les poèmes, de ma prose trop dure !
Poésie dis-je ! Ce n’étaient qu’élucubrations Un vers dans un verre, moitié plein ou vide Je mêle à vos joies vives, âpres déceptions D’autres près dérisoires, et visages livides !
D’où sort donc, cet énergumène qui maraude Pourtant de son partage, rien que du vent Avec prétendues Fatma et rimes faraudes Colle aux cous et pousse aux retranchements !
Passerelles rêvées, perdent ainsi renom Amour vrai-faux, aveuglant horizons d’élites L’autre est tout autre, que ce cher Panthéon N’abrite. Calame plie, vains vers s’effritent !