Figé dans le temps, Oh! ma sœur, ma cousine, Cet instant innocent, Aux douceurs de praline, Ces senteurs d'antan, Où douleur fût bénigne, Ce parfum du moment, Caressant mes narines, Et ce rire d'enfant, Oh! ma sœur, ma cousine;
Tel un astre filant, Au sourire de bonheur, Toi soleil de mille ans, Ton souvenir en nos cœurs.