Quand les nuées étranglent le ciel . Et le tonnerre gronde et vomit le fiel . Le style du pauvre hère . Se courbe; s'etire sur la misère . Et trace sur l'étincelle des fer tous les eres . Ô l'unique mystère de tout mon temps. Dans mon coeur le premier cri change de ton.
Sous l'ombre épineux des sentiers des coeurs Un long souvenir languit mon coeur . Ô la mêmoire reptilienne de trente ans . Savez vous où se cachent mes jours de printemps . Je maudis SINAE j'applaudi GHAZZA . J'adore AHFIR mais je meurs pour le visa.
Eh toi! inerte, sur les seuils des yeux . Je te vois rouge, je te vois vert . Plutot jaune couleur des morts.
Rassemble mille têtes en une boite . Et vide dans le vide tout ce qui boite . Je saurais l'origine de ton sang . Quelque soit " Ô mon ami " ton rang.
Rassemble mille vaches dans le bercail. Tu ne trais que l'écume des jours. Peut être le beaudet fait preuve de bravoure . Car la terre temoigne de son travail.
Quel diable de fer me sépare des hommes . D'AHFIR D'ALGER DE PARIS OU DE ROME ? Or la terre tourne autour du même probleme . Qui jadis, était sorte d'embleme .