Sous l'ombre de l'olivier J'ai arrosé ma tombe Par les larmes de la colombe Et le sang de l'épervier Faut il donc fuir ce paradis Ou renoncer à cette terre de Medi Faut-il lever la tête Et crier à tue tête Pour enfin s'agenouiller comme une bête MORA mon sauveur ! éponge de ma sueur Faut il trier mon corps Ou salir tes mains de ma couleur Pour l'accès au rang des cireurs
Riche ta terre monsieur MORA Demande le bras que tu voudras Puis vogue la galère Puisque LYAUTE à transmis sa colère