Un oiseau sursaute sur les faites des cedres Ivre ,regarde comme un ciel imbu de foudre De grosses mouches suçant le lait du FIGUIER Au recoin de sa levre instaurent leur fumier
La route qui déroute
Une route serpente et joind les pieds des contes Traverse comme un ver les lagunes de fientes Vers un corps nu qui met sur sein un drap de ciel Le sein pue et pousse a tous les ferments de fiel
Le ruisseau ruineux
Son ruisseau de temps coule aux alentours des fourres Contemple tous les vents venant des troubadours Un horrible ouragon aux ptits yeux du nabot
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La graisse de son front faisait beau sur sa peau Quand timidement y parait une rondelle Derrière le conte, imitant la chandelle