Boire jusqu’à la lie Le nectar de tes yeux M’enivrer des mille cieux Où mon cœur est enseveli Vaincre les arcanes de l’oubli Où mon âme, spectre pieu, Se démène de son mieux Afin de fuir le pilori ! Nectar d’asphodèle, luit Dans mon corps soucieux, Tel l’opuntia des mille lieux En quête d’une source de vie Entre l’être et son alchimie Le Verbe indomptable, prodigieux, Chimère, espoir capricieux Vous subjugue toute une vie !