Ziryab sur un nostalique « bayati » éveilla mes pensers Au fil de sa mélodie s’effeuillèrent mes pensées Hivers et automnes résonna en moi l’écho du passé
Ivresse et éclatante jeunesse en mes rêves repassaient Roman de ma vie :Jet d’eau gémissant et colombe blessée Aube de ma vie:Je t'aimais quand l’espoir s’effaçait