Hayette ô ma douce colombe Tu dors en cette tombe Pour jamais.. Jadis sur un air d’iambe Nous jasions et la trombe Emportait Les ajoncs vers la catacombe Où les bergères se lavaient la jambe Et clapotaient.. Combien sur la verte combe Tu chantais et la neige tombe En plein Mai Les amours de « l’épervier et la colombe » Blessés au cœur et les lombes Et l’on s’aimait..