Fée à la lyre d’Orphée, couronne de l’antique Cèdre, chant Angélique d’une brise d’Eden, venant du côté du levant Y répandant à tout vent, douceurs, couleurs, sons et parfums Rivière bleue que hantent les blancs séraphins aux harpes er Oasis verte où l’ombre de « Marie » marie le sacré au nacré Ut enchanteur modulant du doux Mozart l’onduleuse symphonie Zéphyrs Andalous mêlant le luth « Ziryabi » à la flûte Rahba