Vers tes fuyantes rives me pousse à l’infini le flot Kymriqu Ile aux sirènes chantant aux vents la légende de l’Armorique Regards où les vastes prairies verdissent sous le toucher an Gabriel et l’essaim des séraphins de tes vêpres vibrent leur
Inspiratrice de mes Amours le bois de mon Luth boit de ta Mu Naguère le long des récifs ruisselants le souffle de ton par Infligea à mon âme Orientale un doux chant aux tons Celtique Et mon cœur emporté par la trame tomba sur ta ligne mélodiqu