Vous l’Auguste , le Sublime, Mohamed ô Prophète de tous les Olivier Divin offrant a l’Humanité son Ombre et sa Lumière , Votre Céleste Image voyage par delà le Trône aux Anges Blanc Vous brodant de leur chaste duvet la Bourdha aux Prières. *** Que font ces faux crayons griffonnant et falsifiant l’Immuab Bouffons affamés vivant sur les miettes de l’horrible basses Pans mesquins que les vents délaissent aux détours des sable Vos hideux miroirs ne reflètent que votre haine agrandie san *** Mohamed ô divine averse versant la paix dans l’âme Vous rehaussâtes la Grandeur de l’Homme en lui confiant la F O père de l’orphelin, Mère donnant son sein où meurt la Mate *** La Foi dans le cœur, le Livre dans la main vous semiez en ce L'Amour de Dieu, l’amour de l’autre en moisson féconde O sceau de la Prophétie, de tout saint vous êtes la sève de