La mort de l'oiseau messager: Elégie à ''Leila''(acrostiche)
L'oiseau messager de nos divines amours Étend le roide cou sous le sombre gris du jour. Inertes, ses pieds prient encor pour un vain secours Les ailes rabattues, en danse macabre achèvent le tour Au vent d'hiver, il légua le dernier chant d'amour.