La valse du cygne : Ode à « Ancre Marine » (acrostiche)
Ange blanc pliant sur son bleu violon Narrant ses amours en doux concertos Comme un cygne sillonnant la face de l’eau Roulant sous le soleil sa blanche toison Et mêlant son chant au son d’un pipeau
Montant en harmonieuse haleine sous l’olivier. Amoureux de ses charmes que jalouse la neige des Lys Regardant au loin la voile qui gonfle et plie Inconsolé de son sort, s’en va blanc voilier Naviguant vers le pays où le myrte fleurit Ecoule son rêve et meurt où la mer finit !