Femme reine ,j'ai longtemps vécu en aède dans tes vastes pa Recevant de ta belle main, douce tendresse couvant mes plaie Ame pieuse tu m’offris tes Vêpres ,et je te chantais mes lai
N’ayant connu de toi que bonté , piété et divines mœurs Comme un riche rucher ,ton amour juchait en mon cœur, Eden de mes rêves ,je ne cueillerai plus de tes chastes fleu
Sur un air de départ, mon Luth et moi ,jetons sur toi le pué Comme un cygne affligé, le triste train nous attendait à la Adieu céleste Lys,je porterai ton parfum à Paris devers Sain