Paris ô éternelle passerelle de la Pensée universelle, La Tour Eiffel te couve, tendre et brave sentinelle Sur le dôme de la Sorbonne deux ramiers querelleurs L’un chante : Lyre de Hugo,l’autre Bâton de Pasteur !
Ô Seine en sirène, tu passes le Pont Mirabeau Sous le reflet d’un ciel si gris, si triste et si beau Une sonate de Chopin cadence sur l’errante onde, Recueille en Ré une douce Réponse de Sand !
Dans le furtif Métro raflant le Créteil–Balard Je hume encor le parfum de son fin foulard Place de l’Opéra, bel homme au gilet rouge Donne-moi à boire, l’amour me prit au Moulin rouge !