Hayette,houri se pavanant le long de L’Eden ! Ame de mon âme revenant en poignant thrène Y a t’-il de plus cher à mes larmoyants yeux, Espoir de ma vie, que ton charme, or de mes cieux Tu étais la fine mélodie de ma première chanson, Tu étais le blond épi de ma dernière moisson Et seul sans toi, le cœur se meurt en y pensant…