Préludes à "oasis des artistes" (acrostiche en terza rima)
O Leila, la jeunesse, l'amour, et les chants ont quitté A grand tort ce cœur frémissant qui encor, t'aime tant S
Ivre de mes rêves, je m'en allais le long de l'étang Sur la rive où fleurissent le laurier-rose, le vert thym Devers le sentier aux palmiers où le soir je t'attends,
Et dans ma main un zajel,un Muwachah, une fleur de jasmin, Souvenirs parfumés d'Ibn Zaydoun à wallada,son tendre amour Ah combien ensemble ils regardèrent la lune en son voile de
Rivière de mon enfance O Rhumel vieil aède de la Berbère Cou Ton cours si doux, si rêveur, me conta la Geste des Abencera Illustres chevaliers couvant l'Andalousie en guerrier et en
Souffrant de troubles de lit, tu meurs et finis en infini Ba Tes hardis hérons sont partis, et voilà la harde de l'étran En danses macabres sillonnant, en riant, ta fausse image
Seuls mon Luth et moi, boutonnons le glas tintant en note ja