Et le froid virtuel tombant en vif verglas, Parsème à longs flots drus son poignant,laid sevrage Sur le cœur flamboyant d'amour. Et tinte en glas Le doux rêve chantant l'harmonieux ramage
Ô qu'il est vain d'aimer Belles de Las Vegas L'on revient sans aller d'un pénible voyage O si charmants tableaux de l'illustre Degas Mourant en faux pastel .ô cœurs pris en otage
O pigeon voyageur prends ces si tendres fleurs Mets les sur le balcon de ma colombe en pleurs Dis lui de m'envoyer un cheveu de ses nattes
Combien je suis déçu de ces fausses amours S'en allant en rampant, brume des mauvais jours Reviens ô naturel nous jouer tes sonates