Et mon âme s’attendrissait à cette petite chatte dans sa cuv Regardant au loin passer à vol lent, le blanc essaim des ang Frêle avette frôlant de son aile le vert nacré de l’ Hymette Quel sombre frémissement troublait l’onde claire de tes song
Voici ma tendresse en douces coulées laiteuses:lèche et pour Tendre âme rêveuse exilée sur une argile éternellement vaine Je revois dans tes grands yeux noirs ces soirs Celtiques où Gothique vibrait son morne Angélus mourant dans la brumeuse
Vois ton grand père sur son fier étalon menant ses troupeaux Et dans la prairie en fleurs s’attarde encor la brebis plein Trébuchant au saut de ses blancs agnelets tétant la mamelle
Les vastes goélands en joyeux tourbillons faisaient la ronde Les meunières chantaient les "Fleurs d’ Ajoncs" en couronn Et la vague argentée contait aux rives fleuries le rêve ance