N'ayant que tes noirs yeux pour unique richesse En ce monde accablant De toi,ce seul souris dissipe ma tristesse, Et me voilà volant!
ô fauvette d'amour qui,souvent vient bruire A l'ombre de mon vert hallier Combien ton charme d'or,d'un trait savait séduire Ce cœur tremblant en son palier
Dans ton élan fort gai,pareille à l'hirondelle Tu humes l'exquis air,rimant ta pastourelle Un blanc Lys dans ta main
Le soir, vers le frais nid,tu reviens,o colombe ! Roucouler tes doux chants;et ravivant la combe Le ru rend le refrain