Lentement au fond du noble et vaste salon Accoudée à un rosier tu tisses la chanson
Heureuse la fine main frôlant ta frêle corde Amour parfumé de ton fidèle cœur déborde Ravivant les longues nuits de la belle Pénélope Pleurant Ulysse, bramant triste antilope Eparpillant tes sons, de ta douceur elle s’enveloppe