Le menhir témoin éternel de ma plaie saignant sur le sol cel Ecoute en pleurant les vents hurleurs soufflant dans leurs v L’émeraude écumante mêlant l’algue, l’immense rumeur antique Au râle plaintif de mon âme, mouette exilée sur les récifs d
O flot Kymrique teintant d’améthyste l’azur rêveur du Morbih Sur ces sables sacrés où le soleil pleut en gerbes d’or J’entends encor frémir le bruissement miroitant des pans De sa frêle mousseline que la brise câline rebroussait sur s
O gais goélands survolant au gré du vent la marée haute Sur ces vertes bruyères guettant le sourire nacré du printem Le rose amour triomphant versa en mon âme un parfum de noces
Et le rêve mélodieux berçant nos cœurs au son de sa fière no Bravant de ses légères ailes blanches le roc durci au noir g Se brisa débris de saphir que ma Lyre recueille en chanson !