Sur le sillage d’ulysse :sonnet à icetea-fluminus (acrostich
Ivre de la lumière de tes fines et rares émeraudes, Comme l’ancient Marinere,sur l’onde je rime mes chants Étés,hivers sous le pur azur,sous les violents vents, Tout imprégné de tes chastes beautés,je glisse et maraude
Et comme le vieux Ulysse en mendiant ,je traîne et rôde Assoiffé de voir son Ithaque,ses ondulants champs, Fatigué de vivre loin de sa fidèle femme,son brave enfant, La main sur le cœur ,chante son Destin en tendre ode
Ulysse o laboureur regardant mourir la dernière étoile, Marée haute rejette ton vaisseau sans cordes,sans voile, Ifs et récifs conteront ton Odyssée aux rivages.
Nul marin n’a subi ton sort si grand ,si héroïque Urnes pleines ,les vierges te pleurent en thrène pathétique Sirènes et Déesses ,se lamentent de voir périr ton équipage