Un air oublié de Schubert à « Chamalow »(acrostiche)
Un air oublié de Schubert à « Chamalow »(acrostiche)
Cerisier en fleurs où les doux rossignols tissent leurs nids Humant dans l’air un air de ton divin violon qui frémit Amour ,tendresse, d’une belle et fine main où il est écrit : Mourir autant que vivre dans ses yeux : rêve d’un proscrit Acanthe où l’amour d’Anacréon pour Sapho croît et verdit
Le récital enchanté où ta flûte chante, soupire et gémit Ouvre en mon cœur un large trou où pleurent vent et pluie Walkyrie qui rit de Schubert et sur le Rhin s’enfuit