La ville s'est réveillée dès l'appel du muezzin, Conviant les fidèles à la prière de l'aube, L'aurore qui déshabille la nuit de sa robe, Apporte une fraîcheur donnant envie au raisin.
Un bruit de clameur remonte du centre ville, Les gens se dirigent à la mosquée, ou à la baie. Tous s'empressent de chasser le mal de nos îles, Espérant que l'avenir ne soit pas vécu au rabais.
Les premiers rayons du soleil qui apparaît, Apportent l'optimisme et l'enchantement. Les sourires en disent long à ce qui paraît, L'année enrobe la destinée d'entendement.
Gloire à Allah, qui nous prête vie et bonté, Ô vous maître de la destinée, je vous adore ! En aucun moment rien ne m'a laissé douter, De tes bienfaits, de cet amour des Comores. M'tsangani ce 05 Novembre 2013