Minimal m’est d’un si grand bien. Tôt, l’amour se lève, ô combien J’aime te cajoler mon vide. Une autre histoire t’emprisonne Dans le miroir, tu sillonnes Sous les pleurs bleus des jours acides.
Plein de vie, de nuits arides, Le soleil rayonne avide. J’aime te consoler sous le Parapluie désenchanté. Nuages, des anges hantés Cachent la pleine Lune, saoule.
Imagine des gens chanter, Au rythme des cœurs en chantier. J’aime soupirer le silence, Amphithéâtre des pensées, D’un souffle blanc insensé, Quand expire la violence.