J’ai rêvé de la femme parfaite Et elle a un visage, et elle a un nom Et dans cet utopie elle n’a pas cette autre liaison Qui la rend, dans cette réalité, imparfaite.
Elle est douce comme une nuit d’été Et sa beauté tient : et du reflet de son âme, Et de son sourire adoré Quand je la vois, mon cœur la réclame…
Je voudrais vivre dans ce rêve Et je voudrais qu’elle m’embrasse encore Et que cet instant, dure et ne s’achève Que cette nuit ne connaisse jamais l’aurore !