J’ouvris les yeux, pour la première fois, Dans ce monde, où les hommes sont rois. Je l’embrassais, pour la première fois, Sur cette terre, où les hommes gouvernent. Je donnais la vie, pour la première fois, En ces terres, où les hommes nous mènent. J’errais sans but, pour la première fois, Dans ces contrées, où les hommes se croient maîtres. Je m’endormis, pour la dernière fois, Dans ces pays, où les hommes ont cessé d’être.