Derrière ce corps artificiel Traversant ce support charnel Se dressent des eaux torrentielles De sentiments existentiel
Vagues monotones qui se brisent sensuellement Sur le même rivage inlassablement tandis que Les bateaux passent à la surface des sentiments Sans côtoyer les profondeurs du trépassent.
Âme errante tel un marin solitaire Naufragée dans l’abîme crépusculaire Expirera et finira de se parfaire Dans l'éphémère bruissement funéraire
Alors les vagues à l'âme passionnelles Ne seront plus obsessionnelles Et dans l’éternel néant originel Nous terminerons à jamais conceptuel