Les feuilles s'envolent au rythme de mes pensées. Taches pourpres à la splendeur oubliée qui, D'un duvet aux chaudes couleurs la terre habillent. Automne aux splendides peintures colorées
Alors même que le paysage s'enflamme, Me voilà soudain saisie de doux tramblots'. Et transie d'un froid serein, je perds mes mots. Automne, brûlante évocation aux froides flammes
Loin de moi je l'aperçois, dans le vent volant, Porté par la brise, un splendide cerf-volant. Automne aux courants légers messagers d'espoir
Et le ciel pleure, symphonie d'une nuit. Ma peur endormie, bercée par la pluie. Automne, averse à la mélodie illusoire