J’aurais voulu être de ces poètes maudits, Pareil à ceux que la sylphide vomit, Pour que s’égosille ma muse enchaînée Qui vacille comme une lampe anémiée.
Tu me feras pleurer d’Amour-car j’aime Souffrir-et j’extirperai dans les grottes De mon cœur, ivre de ta beauté, les notes Dont rêve Mozart pour t’offrir des poèmes
Qui auront la douceur de tes grands yeux Et les émeraudes qui parsèment tes allures Qui font des prêtres d’éminents parjures Et des poètes des savants malheureux !