Tu es ma rose La peau aisée Sur laquelle j'écris Ma poésie Et ma prose Tu es la source qui Jamais ne tarit Au milieu d'une nuit morose Tu es un doux froufrou D'une âme qui jamais ne se lasse À câliner peu ou prou Mes désirs qui se prélassent Sur tes rivages féminins Au sable caressant Où je bois ton venin Mortel mais pourtant doux Je dors et me réveille Dans l'Alcazar de Cordoue Tous mes désirs en éveil Tu es un rêve andalou Tu es mon ultime cri C'est pour toi que j'écris.