Pendant que mes mains s'agrippent Fiévreusement à tes petits seins Je sens m'envahir comme une grippe Ce désir presque malsain De te pénétrer sauvagement Ô ma belle femelle, je suis ton mâle Avant de devenir ton doux amant Laisse d'abord mon instinct animal Allumer le feu d'une vive ardeur Sur la peau douce de ton entrecuisse Laisse tes narines humer mes odeurs Afin que ton sens olfactif jouisse Et participe à la fête charnelle Où tous nos sens se fondent en un pendant que je fonce dans ta venelle Avec mon attribut masculin Mes va-et-vient en toi provoquent Un tsunami extatique qui ravage Tes désirs de femme sans équivoque Et déposent sur le sable de tes rivages Ce beurre d'amour chargé de testostérone Et de tous les démons virils Qui ne font que consolider ton trône Princesse, ouvre-moi tes désirs fébriles Je ne puis les repousser, ils sont les miens Je les honore comme on honore les dieux Je voyage en toi comme un bohémien L’orgasme rend ton visage radieux Je ne viens pas avec des fleurs Je viens juste pour t'apaiser Je veux, ma douce, que tu pleures De plaisir : tes larmes séchées par mes baisers Me font attendrir. Je deviens un petit garçon Timide, je cache ma tête dans tes cheveux Honteux, je range mon sexe dans mon caleçon Rebelle, il bande c'est toi qu'il veut Assoiffé de toi, il veut encore une fois Refaire le même voyage mais en mode tantrique Lentement, doucement et vigoureusement toutefois Mes caresses et baisers tellement électriques Te font voyager au septième ciel Sous mes caresses intérieures tu tombes en pâmoison Tous les deux emportés par un spasme torrentiel Nous buvons le nectar d'amour, ah, ce doux poison ! Nos corps s'enlacent sans s'en lasser Nos âmes se fondent pour n'en former qu'une Notre amour, ma mie, est une panacée Vivre sans lui serait une lacune !