De ton regard pleuvent des confettis Ton sourire est comme une bouée A laquelle je m'agrippe brusquement Quand je sens que je vais couler Couler des sanglots dans la lave Du volcan de tes yeux carnavalesques.
Ote ce masque de parade Je l'ai reconnu ton sourire Je sais que tu es là, tapie Derrière ce regard noir Qui transpire le désespoir du peintre Que j'aurais tant aimé être Et que jamais je ne serai Par manque d'un peu de talent D'humilité, peut-être.
Dommage qu'on soit dimanche J'irais en acheter une once Chez l'apothicaire du coin Tant pis j'irai le voir demain Peut-être en aura-t-il encore.