J’ai des rêves de vent Et des envies De pétales de mains sur mon lopin de corps Tout un désir d’ivresse A m’en offrir enfin La tiédeur de la vague amoureuse des grèves Dans l’hébétude enfin se déshabituer C’est à dire N’avoir plus pour habit Qu’un linceul de plaisir pour mourir à moitié