Quand pour la première fois je fus amoureux d’Eve Que j’ai pu me frotter au bûcher de ses lèvres Mon cœur s’est enflammé ainsi qu’une allumette J’étais son Roméo elle était ma Juliette
Etroitement serrées au sein du même rêve Nos deux corps enlacés étaient brûlant de fièvre Nous étions seuls sur terre dans ce monde un peu fou Comme des étrangers à Paris au mois d’août