L’hiver quand le soleil absent fait place aux lustres Quand l’air devenu froid se charge en blanc flocons Que l’eau changée en glace réfléchit la lumière Que tout frisonne et tremble que les passants grelottent Qu’aux branches des sapins pendent des stalactites Que sur les champs de neige ou circulent des luges On construit des igloos et des bonhommes de neige Que glissent les traîneaux tirés par des huskys Que sur les pentes abruptes descendent des hommes à skis Que renaît l’espoir vert et que le gui s’illustre