Les troupes obéissantes marchent aux pas de l’oie Loin des oiseaux en cage élevés à l’étroit Pour des chefs étoilés ou des tableaux de rois Les feuilles anarchistes ne connaissent pas de lois
Au lieu de défiler comme des Saint-cyriens Le shako sur la tête les plumes volant au vent Elles montent en grand désordre des ballets aériens Un peu partout, autant en emporte le vent