Il s’est sorti à l’aube vêtu de sa blouse blanche Portant son chevalet ses tubes et ses pinceaux Il peint de fol arabesques et des rinceaux Quand il se met à peindre tous les jours c’est dimanche
Pour peindre la vie avec ses joies avec ses ombres Il joue avec les nues et avec le feuillage Créant la perspective sans faire de quadrillage En dessinant au sol des étoiles sans nombres