La chaleur s’atténue et les ombres s’allongent J’ai rejoins la fontaine et le banc pour m’asseoir C’est l’heure où les parfums montent dans l’air du soir Où l’esprit au repos s’évade dans le songe
Le vent de la montagne a rejoins son repaire Les branches de la nuit se couvrent de fruits d’or Le silence se fait et le lac s’endort Un tout dernier accord vers l’au delà se perd