J’applaudis au concert des oiseaux dans les bois La harpe mélodieuse et le son du piano Me plaisent assurément la mélodie de l’eau La voix de l’océan la complainte du vent
Le roulement des galets sous la vague améthyste L’écho dans la montagne d’une cloche qui appelle L’apparition d’un clown qui déclenchent les fous rires Qui éclairent la vie comme un feu d’artifice
Me charment la symphonie des éléments me calme En l’écoutant j’oublie mes peines je suis tout ouï A la musique d’où qu’elle vienne et me réjouis
Aux sons des instruments réunis dans l’orchestre J’apprécie chaque note qui condamne la tristesse Et je suis prêt à tout pour un tendre je t’aime