L’âme très unie au corps se sent bien dans sa peau Mais l’esprit tapageur vient troubler son repos L’âme est à sa merci soumise à ses envies Mais l’âme qu’il indispose veut donner son avis
Mal aimée l’âme souffrante prend la route de l’exil Mais l’océan amer est parsemé d’écueils L’âme survit en déroute et passe d’île en d’île Seule la poésie lui est une terre d’accueil