C’est un mal courant aussi vieux que le monde Dès l’instant qu’on est seul après qu’on se sépare Elle ne s’en remet pas et sa peine est profonde Il arrive qu’on en meurt comme d’un coup de poignard
La flèche de cupidon a transpercé son cœur Depuis ce coup reçu son cœur vit dans l’alarme Sa bouche et ses mains tremblent son cœur est prêt à fondre Elle retient ses cris ses yeux sont pleins de larmes
Ainsi qu’on voit au bord des feuilles après la pluie Une larme qui roule et qui tombe sans bruit