Quand du bel astre d’or descend la douce lumière Quand celle-ci touche le sol qui tourne comme un disque La chevauchée des walkyries chères à Wagner S’échappe comme un beau diable de la boîte à musique
Aux tambours aux trompettes des musiques guerrières Aux timbres éclatants qui tirent sur les nerfs Je préfère les musiques qui plaisent aux amoureux Celles qui les font danser sur des slows langoureux