A la belle saison comme le jour s’achève Quand la raison s’efface pour laisser place aux rêves Les hommes se rassemblent au coucher du soleil Dont toutes les ficelles forment un bel involucre A l’heure fatidique où l’astre disparaît Ainsi qu’une fraise que l’on écrase dans du sucre Dont le parfum s’échappe comme il se met à fondre Environné d’étoiles entouré d’étincelles Chacun espère trouver dans la mort de l’astre De l’art un peu de poésie un peu de lucre