La musique éternelle chante la vie et la mort Cet amour absolu bien plus fort que la mort Et dans mon âme il brûle encore
La brise de mer qui souffle et fait chanter les palmes Uni au pianola de la vague qui se brise Propagent cette douce flamme si semblable à la femme Qui apporte le calme aux âmes qui réclament
Elle réveille l’innocence d’un monde merveilleux Sur le vaste océan qui se couvre de voiles Comme le chemin des cieux est parsemé d’étoiles Cet amour infini qui brille dans les yeux
Du soleil sur la ville et dans les rues du port Cette musique si tu veux te souvenir encore Suivait nos pas de ses accords
J’avais tout prêt du mien comme je le serrais fort Ton corps, comme il est loin, sais tu je t’aime encore Ton visage est pailleté d’or
Mais les trains passent sais tu encore le nom du port ?