Tel qu’il apparaît sans portes ni fenêtres Comme au tout premier jour le monde est une jungle Un tout sans queue ni tête excepté pour les aigles Qui trônent dans le ciel nul ne peut le connaître
Dès que l’homme apparaît le monde vient à naître Il commence à laisser des traces dessous les ongles Comme vu dans l’encadrement d’une fenêtre Chacun le représente dessous un certain angle
Mais c’est dans l’écriture dans l’assemblage de lettres De concepts et d’idées avec lesquels il jongle Que le monde devient réel dans sa tête
Et se trouve confronter à la dureté des règles Ainsi chacun peut voir le monde à sa fenêtre Et tout cela vaut également pour les aveugles