Drapées dans un peignoir dont les plis se dérobent Ne sont-elles pas comme ces divinités gardiennes Des sources précieuses que joliment les grecs Avaient baptisé nymphes qui conduisent à l’hymen
Ne sont t’elles pas semblables aux muses adorables déesses Qui accordent aux poètes cette fluidité des mots Par des chants et des danses aux sons des instruments Qui sont le trait d’union entre dieu et les hommes